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Hommages à des Terres Souffrantes - Anne Benoit

Exposition Anne Benoit et Edith Henry

Date / Heure
Date(s) - 09/06/2022 - 02/07/2022
18 h 00 min - 17 h 00 min

Emplacement
Théâtre de la Verrière

Catégories


Exposition – Anne Benoît et Edith Henry

Du 9 juin au 2 juillet
De 14h à 17h,
Du lundi au vendredi
contact@verriere.org / 09 52 23 35 63
annebenoit1@free.fr / 06 82 07 68 17
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Hommages à des Terres Souffrantes - Anne Benoit

Hommages à des Terres Souffrantes – Anne Benoit


Hommages à des Terres Souffrantes - Anne Benoit

Hommages à des Terres Souffrantes – Anne Benoit

 

 

« Au départ, fascinée par les hommes et femmes combattants Kurdes, j’ai beaucoup regardé leurs images, leurs visages et leurs chars peints de signes très graphiques évoquant des armes, des flèches, des oiseaux, des grues, des envols… La beauté de ces signes contraste avec la tragédie que vivaient ces soldats souriants et fiers. Comme pour la série des paysages, j’ai mêlé des emprunts aux photos de presse et aux images à caractère historique, à d’autres éléments répétitifs qui donnent à ces peintures une visée plus générale sur les tragédies humaines. Apparaissent différents motifs, saturant l’espace. Parmi eux le chien loup est un guetteur, un témoin, une victime. La peinture « en réserve » nous montre un monde peuplé de fantômes.

L’ensemble du travail nous parle d’impuissance, la nôtre, d’angoisses sourdes et souterraines, mais en même temps d’une envie de comprendre l’indicible. »

Anne Benoit

 


 

Illustration par Edith Henry

Illustration par Edith Henry


Illustration par Edith Henry

Illustration par Edith Henry

 

 

 

 

« Kurdistan? Pour moi, ce sont d’abord des rencontres – en premier de Rebwar Saeed (sa peinture, ses récits de vie dans la montagne kurde, la résistance, les bombardements chimiques – notre travail en collectif d’où est née l’association La Pluie d’Oiseaux), puis de bien d’autres, des femmes et des hommes souvent devenus mes amis. Ce sont des livres, des films, des peintures, des photos et mes nombreux voyages « là-bas ». Depuis 30 ans, je glane des mots, des bribes de récits, des objets, des bouts de tissus ou de poterie, je croque, j’accumule les souvenirs, des visages. Mes « matières kurdes ».

 

Ces œuvres exposées sont mes tentatives de les « digérer », de les transfigurer, de les rendre tangibles. C’est ma façon de les questionner, de leur donner de la consistance et de les partager tout en préservant leur part de fragilité et de secret. »

 

 

 

Edith Henry

 

 





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